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La vague de privatisation du
secteur des télécommunications qui
s'amorça au
début des années 1990 dans les pays
développés, traditionnellement sous monopole
d'Etat, s'étendit également au continent africain
et notamment dans les pays francophones.
Ces Etats ouvrirent leurs
systèmes de télécommunications
à la participation
des investissements internationaux
- dans le secteur de la
téléphonie
mobile
- dans le secteur de
la
téléphonie fixe national ou international
également.
Dans cette nouvelle phase, les acteurs français sont France
Télécom
directement ou par le biais de ses filiales
spécialisées (Orange).
C'est ainsi qu'en 1997, France Télécom prit
- 51 % du capital de
CI- TELCOM, la nouvelle
société ivoirienne de droit
privé qui gérait depuis 1991 les
télécoms de Côte
d'Ivoire
- 42,33 % du capital
de la SONATEL au
Sénégal.
A la fin des années 1990, Orange possédait
quelques filiales en Afrique
- Ivoiris en
Côte d'Ivoire,
- Mobilis au Cameroun,
- Sonaten Alizé
au
Sénégal,
- Antaris à
Madagascar,
- Caratel en
Centrafrique
- Vista Cellular au
Bostwana.
Dans les plus
importantes de ces filiales, une partie du personnel
expatrié associé à
la gestion avait fait ses premières armes à
FCR.
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